Nous avions relaté l'agression violente d'une habitante du quartier des Prés le 12 juin 2013 dépouillée de bijoux de valeur, à la cisaille, dans l'entrée de sa maison. Un deuxième événement est venu à notre connaissance.
Le 17 août, un couple d'un certain âge habitant un immeuble du quartier de Clagny rentre en voiture après avoir fait ses courses dans un supermarché des environs. La voiture est garée dans le parking en sous-sol de leur immeuble. Madame se dirige la première vers l'ascenseur avec des sacs remplis tandis que Monsieur s'affaire encore dans la voiture.
Une jeune femme fluette attend à la porte ouverte de l'ascenseur et déclare attendre quelqu'un. Arrive Monsieur avec ses paquets. Monsieur et Madame montent dans la cabine quand surgit un homme de forte carrure, celui qu'attendait la jeune femme. Tous deux sont de la même origine ethnique, parfaitement définissable. Sans y être invités ils s'empilent dans dans la cabine exiguë et l'un d'eux appuie sur le bouton d'un étage élevé. Tout ce monde est comprimé. A l'arrivée, l'un des comparses fait immédiatement redescendre la cabine au rez de chaussée et tous deux disparaissent par le hall de l'immeuble.
Madame sent qu'il s'est passé quelque chose d'anormal. Arrivée dans son appartement, elle constate - immédiatement et un peu par hasard - que sa carte de crédit a disparu du sac à main qu'elle portait en bandoulière. Elle comprend alors le manège des deux comparses et la raison de la bousculade organisée dans cabine d'ascenseur.
Elle fait opposition auprès de sa banque 30 minutes après l'épisode de l'ascenseur. Dans ce bref délai sa carte a été débitée de 4000 euros. Monsieur et Madame se souviennent parfaitement avoir vu le couple au supermarché, près de la caisse, où a été observé et mémorisé le code de la carte de crédit.
Un vol sans violence tel que celui-ci est passible d'une peine de prison de moins de cinq ans remplacée au mieux par une peine dite "de probation" Taubira, qui fait bien rire toute la planète, surtout les cohortes de malfaiteurs qui viennent faire leur cueillette chez nous avec une impunité garantie. Nous les accueillons à bras de plus en plus ouverts. Maintes associations spécialisées et subventionnées (avec l'argent pris par l'Etat dans nos poches) sont prêtes à assister ces malfaiteurs lorsqu'ils prennent un mauvais coup ou se font attraper.
Si nos deux exemples ne font pas une généralité, il y en a malheureusement bien d'autres, relatés par les médias quand il y a du sang, ou qui restent inconnus du public. Quand les assurances remboursent c'est toujours la collectivité qui paie. Combien de temps encore allons nous tolérer cet état de fait dont les causes principales sont évidentes. Les urnes seront bientôt à notre disposition pour essayer réorienter le cours des choses.
Voir dans ce blog les article du 16 et du 13 juin 2013 où est décrite l'agression du 12 juin.
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