- la transition écologique
- la fiscalité
- la démocratie et la citoyenneté
- l'organisation de l'Etat et les services publics
Dans son fameux discours du 10 décembre, le président de la République avait pourtant textuellement déclaré "Je veux que nous mettions d'accord la nation avec elle-même sur ce qu'est son identité profonde, que nous abordions la question de l'immigration. Il nous faut l'affronter."
Les cinq thèmes, incluant celui de l'immigration, figuraient dans le compte rendu du conseil des ministres tenu le 12 décembre, mais le premier ministre a finalement escamoté celui de l'immigration, comme dit plus haut.
Ainsi, ne pas nommer les choses et rester dans le déni de la réalité est la conduite choisie par ceux qui gouvernent.
"Ainsi, ne pas nommer les choses et rester dans le déni de la réalité est la conduite choisie par ceux qui gouvernent."
RépondreSupprimerSur votre conclusion que je cite ci-dessus, je soutiens le choix du Gouvernement en la matière: tout n'est pas bon à dire et souvent le silence est d'or !
"Ne pas nommer les choses" n'est pas être ou rester "dans le déni de la réalité". La "réalité" n'est pas une dictature, le dire vrai est souvent trop violent et il faut parfois des nuances pour parler des choses. Parfois des silences sont plus éloquents que des discours, parfois des musiques sont plus explicites que des paroles, parfois des mains qui s'étreignent disent plus la réalité que les conventions sociales qui l'étouffent !