Association loi 1901 créée en 2002 ayant pour objet la qualité du cadre de vie. Périmètre : Versailles et Le Chesnay-Rocquencourt. Agit en réseau au sein de SAVE et d'Yvelines Environnement. Conseil d'administration : Alain Bertet, Tanguy Bouchaud, Michel Chatain, Inès de Pirey, Scholastique de Tarlé, Marie-Thérèse Desjardins, Michel Morgenthaler (président), Aude Tézenas du Montcel. Les articles sont rédigés par le président et n'engagent que lui.
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25 mars 2020
22 mars 2020
Les prophètes du passé - leur grand retour à l'occasion du coronavirus
Le titre « Les
prophètes du passé » du célèbre pamphlet de Jules Barbey d’Aurevilly, paru
en 1851, est détourné ici pour les besoins de la cause.
Les catastrophes
suscitent immanquablement des avis de grands experts sur ce qu’il aurait fallu
faire.
Cette affaire de la
plus haute importance qu’est l’actuelle pandémie de coronavirus ne déroge pas à
la règle.
Il est infiniment plus
facile - et surtout moins risqué - de s’ériger en censeur et donneur de
conseils lorsque l’histoire est déjà écrite, ses conséquences connues ou
partiellement connues, et qu’on peut tranquillement inventorier les erreurs
commises par ceux qui avaient à décider en indiquant sentencieusement les
corrections qui auraient conduit à un meilleur résultat.
Parmi les prophètes du
passé qui se pressent sur les plateaux, dans les studios et qui noircissent des
pages de journaux on trouve de tout : politiques pas toujours très connus,
professeurs de virologie et d’épidémiologie poussés après la pluie,
journalistes qui se copient les uns les autres. Leurs « Y’avait
qu’à » et « Fallait que » nous laissent la mandibule pendante tellement
nous admirons leur profonde clairvoyance. Comment ceux qui nous gouvernent ont-ils
pu négliger le concours de telles compétences ? Pour être honnête, on trouve
aussi de temps en temps des commentateurs sérieux et modestes.
Il est en revanche bien
utile de faire des investigations pour rétablir les faits. Ainsi, en 2011,
il y avait près d’un milliard et demi de masques : 600 millions de
masques FFP2 (pour les professionnels de santé) et 800 millions de masques
chirurgicaux (pour toutes les autres professions en contact avec le public :
chauffeurs de bus, policiers, caissières, éboueurs...). Cette année-là, Xavier
Bertrand est ministre de la santé et la France possède le plus gros stock
au monde.
En 2012, François Hollande s’installe à
l’Élysée. Marisol Touraine est nommée à la Santé. Et en 2013, le 16
mai exactement, le secrétariat général de La Défense et de la sécurité
nationale change la doctrine pour la protection des travailleurs. A noter que Jérôme
Samuel, actuel directeur de la santé, était à l’époque le conseiller de la
ministre Touraine. Tout bascule à ce moment-là. Le gouvernement de
Jean-Marc Ayrault décide alors que l’Etat ne s’occupera plus que des masques
fpp2 pour les professionnels hospitaliers, et qu’il abandonnera la
gestion des autres masques chirurgicaux aux employeurs des autres
professions en contact avec le public. C’est ce qui est écrit dans un
rapport du sénateur Francis Delatre. Au fil des années, le stock
stratégique a été utilisé sans avoir été renouvelé. C’est ce qui explique le
manque cruel de masques et la panique politique.
Une grande question n’est toujours pas tranchée :
faut-il réserver les masques aux personnes saines pour les protéger ou aux
personnes malades pour qu’elles n’infectent pas les saines ? Le problème
semble avoir été fabriqué de toutes pièces pour diminuer l'impact de la scandaleuse pénurie,
car il faut bien des masques pour tous. Si c’est pour tous il en faut plus. Quelques
pays prévoyants et disciplinés (Chine, Taïwan, Corée du Sud, Singapour, etc.) ont
procédé ainsi avec succès.
Enfin, bien que l’heure ne soit pas à la l'ironie et que le virus tue plus que le ridicule, que dire sur cette
lamentable pantalonnade de l’hôpital militaire de trente lits sous tente de
Mulhouse. Cela fait dix jours qu’on l’annonce pour le lendemain et il n’est toujours
pas opérationnel. A la télé on voit de gentils bidasses tourner en rond à la
recherche des piquets de tente. S’il y a une raison sérieuse, pourquoi ne pas
la dire ? La réputation de l’armée mérite mieux.
17 mars 2020
Coronavirus - attestation de déplacement dérogatoire - le formulaire - l'amende
télécharger le formulaire
Le formulaire peut être rempli sur l'ordinateur avant impression.
Il faut remplir une attestation par jour. Il semble que plusieurs motifs puissent être cochés sur la même attestation.
En cas de contrôle, le défaut de présentation de cette attestation est passible d'une amende de 38 euros, qui sera incessamment portée à 135 euros, par décret en cours de signature .
Il faut remplir une attestation par jour. Il semble que plusieurs motifs puissent être cochés sur la même attestation.
En cas de contrôle, le défaut de présentation de cette attestation est passible d'une amende de 38 euros, qui sera incessamment portée à 135 euros, par décret en cours de signature .
16 mars 2020
Elections municipales à Versailles et au Chesnay-Rocquencourt - résultats du 15 mars 2020
Un seul tour aura suffi dans chacune des deux communes.
François de Mazières |
VERSAILLES
Inscrits :
57 193
Abstentions :
63,26 %
|
||
François de
Mazières
|
63,11 %
|
45 sièges
|
Fabien
Bouglé
|
10,56 %
|
3 sièges
|
Renaud
Anzieu
|
7,81 %
|
2 sièges
|
Anne-France
Simon
|
6,56 %
|
1 siège
|
Anne
Jacqmin
|
6,00 %
|
1 siège
|
Marc
Dias Gama
|
5,92 %
|
1 siège
|
télécharger les résultats détaillés
Richard Delepierre |
LE CHESNAY –
ROCQUENCOURT
Inscrits :
22 935
Abstentions :
61,16 %
|
||
Richard
Delepierre
|
50,44 %
|
33 sièges
|
Philippe
Brillault
|
49,55 %
|
10 sièges
|
11 mars 2020
Réponses aux questionnaires adressés aux candidats pour les municipales, à Versailles et au Chesnay-Rocquencourt
A Versailles
les 6 candidats déclarés ont répondu aux questionnaires de SAVE
à savoir
Renaud Anzieu
Fabien Bouglé
Marc Dias Gama
François de Mazières
Anne Jacqmin
Anne-France Simon
06/03/20 réponse Simon concernant VGP
06/03/20 réponse Dias Gama concernant VGP
06/03/20 réponse Anzieu concernant VGP
09/03/20 réponse de Mazières concernant VGP
Bouglé et Jacqmin ont répondu pour VGP sur le même document que pour Versailles
06/03/20 réponse Dias Gama concernant VGP
06/03/20 réponse Anzieu concernant VGP
09/03/20 réponse de Mazières concernant VGP
Bouglé et Jacqmin ont répondu pour VGP sur le même document que pour Versailles
06/03/20 réponse Simon concernant Versailles
06/03/20 réponse Bouglé concernant Versailles et VGP
07/03/20 réponse Jacqmin concernant Versailles et VGP
08/03/20 réponse Dias Gama concernant Versailles
08/03/20 réponse de Mazières concernant Versailles
10/03/20 réponse Anzieu concernant Versailles
06/03/20 réponse Bouglé concernant Versailles et VGP
07/03/20 réponse Jacqmin concernant Versailles et VGP
08/03/20 réponse Dias Gama concernant Versailles
08/03/20 réponse de Mazières concernant Versailles
10/03/20 réponse Anzieu concernant Versailles
Au Chesnay-Rocquecourt
1 seul candidat sur les 2 déclarés a répondu aux questionnaires de l'AHC (membre de SAVE)
à savoir
Richard Delepierre
Philippe Brillault n'a pas répondu
8 mars 2020
Place Hoche - nuisances nocturnes - la solution tant attendue est arrivée
La question des nuisances nocturnes sur la place Hoche, restée pendante depuis plusieurs années, devrait être résolue grâce aux dispositions de l'arrêté municipal n° A 2020 / 373 signé par le maire de Versailles le 24 février 2020.
extraits de l'arrêté
article 1 : A compter de la prise d'effet du présent arrêté, sont interdits sur la place Hoche les attroupements, rassemblements ou regroupements nocturnes de personnes physiques et ce entre 23h00 et 06h00 du matin.
article 5 : M. le directeur général des services de la Ville et Mme le commissaire divisionnaire , cheffe de la circonscription d'agglomération de Versailles, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté.
rappel
Ce point faisait partie des questions posées au maire par l'association deBange-Houdon, auxquelles il a répondu lors de l'assemblée générale de l'association le 7 décembre 2019.
La solution fournie par cet arrêté est une alternative à la fermeture du square par des grilles pour un coût de 250 000 euros. Elle est à mettre au crédit du conseil de quartier Notre-Dame, dont l'association est membre, et surtout de son vice-président, Patrick Bouy, qui a exercé une action opiniâtre auprès du maire et des services.
7 mars 2020
Vols à la fausse qualité - encore et toujours, selon des scénarios immuables
Le gardien de la paix Sébastien Adam, de la Mission Prévention Communication de la DDSP 78, communique :
secteur Montreuil à Versailles
Les voleurs attendent la victime à la porte de son domicile et lui déclarent, lorsqu'elle arrive, être policiers et l'informent qu'il y a eu un cambriolage chez elle.
Ils en profitent alors pour l'accompagner dans le domicile et, pendant qu'un des voleurs occupe la victime, le complice en profite pour fouiller le domicile et s'emparer des objets de valeur.
secteur Les Gressets à La-Celle-Saint-Cloud
Les voleurs se présentent à la victime comme des policiers et lui expliquent qu'elle a sûrement été victime d'un vol. Pour prouver leurs dires, les faux policiers présentent alors à la victime des objets lui appartenant qu'ils auraient découverts et l'invitent à vérifier ses objets de valeurs en leur présence. La victime s'aperçoit alors qu'elle s'est fait voler plusieurs objets de valeur.
Conseils :
Ne jamais faire entrer un inconnu dans votre domicile (même s'il s'agit d'une personne vous semblant inoffensive)
Toujours vérifier la qualité de votre interlocuteur (demander une carte professionnelle par exemple)
Composer immédiatement le 17 en cas de doute.
Consultez le compte twitter @PoliceNat78000 qui présente des vidéos pédagogiques :
4 mars 2020
Coronavirus - premier cas à Versailles aujourd'hui 4 mars
Sans commentaire.
Appliquer les consignes.
Appliquer les consignes.
1 mars 2020
Sinistre du 29 bis rue du Vieux Versailles
Vue depuis la rue. A droite, l'immeuble n°31 évacué. ©LE PARISIEN
|
Panneau de chantier avec le nom des intervenants. |
Le
permis de construire
Le permis pour la construction au n° 29 bis, à la place d’un hangar, d’un immeuble de 12 logements ainsi qu’une surface commerciale en rez-de-chaussée et de parkings en sous-sol, a été accordé le 15 décembre 2014 par la Ville après avis favorable de l’architecte des Bâtiments de France.
Il a fait l’objet d’un recours des riverains portant sur les pertes d’ensoleillement, les nuisances des livraisons pour le commerce, le local à poubelles, le stationnement des vélos, etc., mais pas sur la construction du sous-sol. Ce recours a été rejeté par jugement du tribunal le 24 novembre 2017, rendant le permis définitif.
Le permis pour la construction au n° 29 bis, à la place d’un hangar, d’un immeuble de 12 logements ainsi qu’une surface commerciale en rez-de-chaussée et de parkings en sous-sol, a été accordé le 15 décembre 2014 par la Ville après avis favorable de l’architecte des Bâtiments de France.
Il a fait l’objet d’un recours des riverains portant sur les pertes d’ensoleillement, les nuisances des livraisons pour le commerce, le local à poubelles, le stationnement des vélos, etc., mais pas sur la construction du sous-sol. Ce recours a été rejeté par jugement du tribunal le 24 novembre 2017, rendant le permis définitif.
Le sinistre
En août 2019, suite à un gros orage, des fissures sont apparues sur l’immeuble n° 31 mitoyen provoquant l’intervention des pompiers, la Ville a pris un arrêté de péril qui a conduit à l’évacuation complète de cet immeuble.
Une procédure d’expertise judiciaire en référé préventif,
avec plusieurs parties dans la cause, avait pourtant été initiée dès avant le
démarrage des travaux. Il est particulièrement regrettable que cette expertise
n’ait pas permis de préserver les immeubles avoisinants alors que c’était
précisément là son objet. L’historique de l’expertise met en lumière qu’un
faible nombre de témoins de surveillance avaient été mis en place quelques
semaines avant l’arrêté de péril pris par la Ville.
Une surveillance réalisée dans les règles de l’art aurait dû permettre de détecter l’apparition des désordres, d’en mesurer l’évolution et
d’interrompre le chantier beaucoup plus tôt. Des disposition auraient pu alors
être prises pour éviter d’en arriver à la situation catastrophique subie par la suite.
Le rabattement de nappe
Le rabattement de nappe
Son niveau bas étant calé au-dessous du niveau de la nappe
phréatique, il était nécessaire de réaliser un pompage temporaire pour la
construction à sec du sous-sol. Au stade définitif, l’étanchéité est prévue obtenue
par un cuvelage imperméable, puis le pompage sera arrêté et la nappe se rétablira à son niveau initial.
Il s’agit d’une opération courante dans ce genre de
configuration, mais délicate en milieu urbain dense comportant des avoisinants
très anciens et dans un contexte géologique sensible comportant des sols fins pouvant être
entraînés par le pompage si les précautions nécessaires ne sont pas prises. Le
pompage produit ses effets selon un « cône de rabattement » bien
au-delà de l’emprise du chantier. Les tassements consécutifs peuvent créer des
désordres dans les constructions concernées, surtout si elles sont anciennes.
Le pompage doit faire l’objet d’une déclaration auprès des
services compétents et ensuite être réalisé dans les règles de l’art.
L’autorisation
de pompage
C’est au maître d’ouvrage et au maître d’œuvre qu’il appartient de
déposer un dossier dans le cadre de la « Loi sur l’eau » auprès des
services de l’Etat, en l’occurrence de la DDT (Direction Départementale des
Territoires).
Les services de la Ville ne sont pas habilités à suivre ces procédures qui relèvent du Code de l’Environnement.
Les dysfonctionnements
Le maître d’ouvrage ne s’est pas entouré d’acteurs compétents et expérimentés eu égard à la complexité du chantier.
Notamment, il est patent que l’entreprise choisie n’a pas agi selon les règles de l’art. Outre le grave déficit d’étude et d’analyse, on a relevé que les pointes filtrantes avaient été installées au-delà de la parcelle, ce qui est interdit.
Les déclarations nécessaires auprès des services de l’Etat n’ont pas été faites.
Les services de la Ville ne sont pas habilités à suivre ces procédures qui relèvent du Code de l’Environnement.
Les dysfonctionnements
Le maître d’ouvrage ne s’est pas entouré d’acteurs compétents et expérimentés eu égard à la complexité du chantier.
Notamment, il est patent que l’entreprise choisie n’a pas agi selon les règles de l’art. Outre le grave déficit d’étude et d’analyse, on a relevé que les pointes filtrantes avaient été installées au-delà de la parcelle, ce qui est interdit.
Les déclarations nécessaires auprès des services de l’Etat n’ont pas été faites.
Le maître d’œuvre et le bureau de contrôle se sont révélés
défaillants, ne constatant pas les lacunes au niveau des études et laissant les
travaux se réaliser sans contrôle.
Le sinistre résulte d’une somme d’incompétences et de
manquements dans le traitement d’un problème de construction délicat mais
parfaitement maîtrisable par des professionnels compétents.
Action et responsabilité de la Ville
Lors de la première réunion provoqué par le maire, celui-ci a rappelé au maître d’œuvre défaillant sa responsabilité. L’expert lui a demandé de ne pas intervenir, au motif qu’il s’agissait d’un litige de droit privé.
Action et responsabilité de la Ville
Lors de la première réunion provoqué par le maire, celui-ci a rappelé au maître d’œuvre défaillant sa responsabilité. L’expert lui a demandé de ne pas intervenir, au motif qu’il s’agissait d’un litige de droit privé.
La ville a néanmoins tenu à maintenir des réunions. Les
services techniques et juridiques ont joué un grand rôle par la suite pour
accélérer les décisions.
La Ville ne peut en aucun cas s’immiscer dans le choix de
l’entreprise par le maître d’ouvrage. Il est toutefois à noter, qu’en avril 2019, le technicien du service assainissement avait, par courriel, rappelé à l’entreprise son obligation de respecter la procédure définie par la « Loi sur l’eau ». En août il avait prévenu la police de l’eau.
Contrairement à ce qui a pu être dit, la Ville, dans un
cadre juridique contraignant, a fait et continue de faire tout son possible
pour assurer la sécurité des avoisinants et permettre le retour des habitants
évacués du n° 31.
Ainsi, les services techniques municipaux prennent-ils part
aux réunions d’experts et le maire organise-t-il toutes les trois semaines une
réunion de toutes les parties pour accélérer les prises de décisions et motiver
l’expert judiciaire sur l’aspect social de l’affaire et les urgences qui en découlent.
Déjà sept réunions ont été tenues avec les riverains les 6
et 8 novembre, 4 et 20 décembre 2019, 20 janvier, 7 et 27 février 2020. La
prochaine est fixée le 20 mars prochain.
Suite prévue
Les différents experts nommés par le tribunal doivent rendre un rapport, toujours en attente. En raison du développement des fissures, l’arrêt progressif du pompage a été ordonné la semaine dernière, ce qui va avoir pour conséquence la remontée de la nappe jusqu’à son niveau naturel.
Pour sécuriser l’immeuble du n° 31 et permettre aux habitants de réintégrer leur domicile, l’expert a déterminé une procédure de cerclage de l’immeuble, la pose de tirants et des injections. Un délai de 2 à 3 mois est évoqué pour l’ensemble de ces opérations.
C’est l'assurance du maître d'ouvrage du n°29 bis rue du Vieux Versailles qui prend en charge les travaux.
Lors de la réunion d’expertise du 27 février 2020, la Ville a proposé de remblayer elle-même la fouille si le maître d’ouvrage n’y procédait pas. Un devis a été demandé au bailleur de voirie, l’entreprise LCTP, qui sera ensuite transmis au juge en charge du contrôle des expertises pour qu'il délivre l'autorisation de réaliser ces travaux. Le maître d’ouvrage a cependant informé la Ville le soir même qu’un devis avait été validé de son côté avec l’entreprise LMTP et que les travaux de remblaiement commenceraient lundi 2 mars. Dans le doute la Ville maintient sa procédure.
Les différents experts nommés par le tribunal doivent rendre un rapport, toujours en attente. En raison du développement des fissures, l’arrêt progressif du pompage a été ordonné la semaine dernière, ce qui va avoir pour conséquence la remontée de la nappe jusqu’à son niveau naturel.
Pour sécuriser l’immeuble du n° 31 et permettre aux habitants de réintégrer leur domicile, l’expert a déterminé une procédure de cerclage de l’immeuble, la pose de tirants et des injections. Un délai de 2 à 3 mois est évoqué pour l’ensemble de ces opérations.
C’est l'assurance du maître d'ouvrage du n°29 bis rue du Vieux Versailles qui prend en charge les travaux.
Lors de la réunion d’expertise du 27 février 2020, la Ville a proposé de remblayer elle-même la fouille si le maître d’ouvrage n’y procédait pas. Un devis a été demandé au bailleur de voirie, l’entreprise LCTP, qui sera ensuite transmis au juge en charge du contrôle des expertises pour qu'il délivre l'autorisation de réaliser ces travaux. Le maître d’ouvrage a cependant informé la Ville le soir même qu’un devis avait été validé de son côté avec l’entreprise LMTP et que les travaux de remblaiement commenceraient lundi 2 mars. Dans le doute la Ville maintient sa procédure.
Une fois le remblaiement réalisé,
le pompage sera arrêté totalement au bout de 15 jours.
Questionnaires adressés aux candidats pour les municipales, à Versailles et au Chesnay-Rocquencourt
SAVE, association de 20 associations de Versailles et environs, a, selon son habitude lors de chaque élection municipale adressé des questionnaires aux candidats.
Deux questionnaires :
Pour Le Chesnay - Rocquencourt, questionnaires établis par AHC (membre de SAVE), adressés au 2 candidats, à télécharger :
Les réponses sont demandées avant le 6 mars. Un tableau de synthèse permettant de comparer les réponses sera publié.
Deux questionnaires :
- l'un concernant la communauté d'agglomération VGP où la nouvelle équipe municipale sera représentée ;
- l'autre concernant la commune de VGP dans laquelle se présente le candidat,
Pour Le Chesnay - Rocquencourt, questionnaires établis par AHC (membre de SAVE), adressés au 2 candidats, à télécharger :
Les réponses sont demandées avant le 6 mars. Un tableau de synthèse permettant de comparer les réponses sera publié.