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Libération a rappelé qu’en 2018 la nouvelle maire de Marseille avait soutenu les professeurs Joyeux et Montagnier dans leur campagne contre les vaccins obligatoires. Le tout accompagné de fausses affirmations. En janvier 2018, ces deux professeurs avaient lancé un "appel à la raison" à destination des personnels et professionnels de santé pour s’opposer à la nouvelle loi, portée à l’époque par Agnès Buzyn, imposant 11 vaccinations aux enfants. Cette position vaudra à Henri Joyeux d’être rejugé devant l'ordre des médecins. Un lien sur les réseaux sociaux et un tweet de mars 2018 signés Rubirola ont depuis été effacés (source : Sylvain Chazot -Libération 23/07/2020).
La question se pose de savoir si les positions singulières de Madame Rubirola contre la vaccination, avec le poids dû à sa qualité de médecin et l’autorité conférée par son mandat de maire de Marseille, deuxième ville de France, sont soutenables aujourd’hui tandis que le monde entier appelle ardemment de ses vœux un vaccin contre la Covid-19.
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