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11 août 2024

JOP Paris 2024 - la cérémonie de clôture le 11 août et le palmarès

 

La cérémonie de clôture a eu lieu au stade de France

après extinction de la flamme au jardin des Tuileries

un des tableaux du spectacle au stade de France
©
LAURENCE GEAI / MYOP POUR LE MONDE


Palmarès des 15 premières nations
(la Fédération de Russie a été interdite de participation)

De l'avis général, ces Jeux olympiques d'été 2024 à Paris, un siècle après ceux de 1924 à Paris déjà, auront été une réussite exceptionnelle quant à l'organisation et un enchantement spectaculaire qui a dépassé l'imaginable. Une nation qui sait réaliser cela a encore de la ressource.
Les nombreux prophètes qui avaient prédit l'échec se seront trompés.
La ferveur contagieuse de tous les participants et du public a redonné foi dans l'humanité. 
La fierté nationale des Français a mis du baume au cœur à point nommé. La Marseillaise* a retenti souvent, chantée à pleins poumons. Des larmes ont coulé.
Les congratulations, voire les autosatisfecit, n'ont pas manqué pour vanter l'excellente maîtrise de l'évènement, saluant le président du comité des jeux Olympiques, Tony Estanguet, jusqu'aux balayeurs, sans oublier les forces de l'ordre et les bénévoles. A bon droit.
On relèvera néanmoins que certains acteurs majeurs n'ont pas bénéficié autant qu'ils le méritaient, eux aussi, des feux de la rampe, parmi lesquels la Région Île-de-France et sa présidente Valérie Pécresse, pour les infrastructures et les transports, et la SOLIDEO (Société de Livraison Des Ouvrages olympiques) dont le directeur général, Nicolas Ferrand, a tenu le pari de livrer à l'heure tous les ouvrages, dont le fameux Village des Athlètes.

Les Jeux paralympiques suivront, du 28 août au 8 septembre.
Les prochains Jeux olympiques et paralympiques d'été se tiendront à Los Angeles en 2028.

(*) la Marseillaise, hymne national fédérateur parmi les plus beaux et les plus forts, paroles et mélodie, ne souffre pas les arrangements orchestraux hasardeux tel que celui qui a été joué lors de la clôture. Quand on n'est pas Hector Berlioz, mieux vaut s'en tenir à l'original. 

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