Un sénateur de 75 ans, président de groupe au sénat, s'est exprimé ainsi :
"On disait aussi que la contestation autour de la réforme de la SNCF allait perdurer dans le temps. Et, au final, qui en parle encore aujourd'hui ? Dans un an, on se demandera comment l'affaire Benalla a-t-elle pu créer une telle effervescence."
Ce n'est pas sur la teneur du propos mais sur l'orthographe que nous portons notre attention. N'est-il pas inquiétant qu'un personnage aussi âgé et occupant une telle position puisse commettre deux fautes grossières en trois phrases : un pléonasme et un redoublement du sujet auquel s'ajoute une redondance interrogative ?
Par pure charité, nous ne révélons ni son nom ni celui de son groupe.
Tout fout le camp.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire