télécharger par le lien ci-dessous
28/07/21 - Ligne 18 - EP - observations deBange-Houdon
Nos observations, ainsi que toutes celles qui ont été déposées, peuvent être consultées pendant un temps limité sur le site de l'enquête publique dont le lien a été communiqué dans l'article du 30 juin 2021 de ce blog.
Nos observations sont enregistrées sous le n° 286.
Voir les articles du 27/07/2021 et du 30/06/2021 sur le même sujet.
Nous communiquons ci-après deux précieux documents à télécharger qui permettent d'évaluer l'impact financier des différentes solutions de génie civil qui font débat, à savoir : "viaduc", "au sol", "tranchée ouverte", "tranchée couverte", "tunnel".
Pour exprimer un avis pertinent sur un projet, il n'est pas inutile de "savoir combien ça coûte" et de mettre les choses en perspective sur le plan financier. Ce principe de bon sens est presque toujours négligé dans l'examen des projets financés par l'argent public, y compris dans le quotidien des petits projets municipaux.
Le premier document figure dans le pléthorique dossier de l'enquête publique du 28 juin au 3 juillet 2021 sur la modification de la partie Ouest de la Ligne 18. On y trouve deux chiffres en estimation valeur 2020 : coût total : 4 427 millions d'euros, dont infrastructure : 1 662 millions d'euros.
28/06/21 - L18 - appréciation sommaire des dépenses
Le second document, que nous avons obtenu directement de la Société du Grand Paris, est tout récent et vient d'être versé au dossier. Il présente une estimation du coût au kilomètre des différentes solutions de génie civil. Ainsi, en tablant sur une longueur de 5 km pour le tronçon controversé pour lequel la modification sur laquelle porte l'enquête publique consiste à passer de la solution "viaduc" à la solution "au sol", une solution "tunnel" qui satisferait les agriculteurs autant que les défenseurs de la nature et du paysage entraînerait une plus-value de 5 x (52,7 - 20,4) = 162 millions d'euros par rapport à la solution "au sol" proposée. Cette plus-value représente 3,7 % du coût total du projet et 9,7 % du coût du génie civil.
22/07/21 - L18 - comparaison des coûts des différentes solutions de génie civil
Si ce calcul de coin de table conduit à une appréciation correcte des ordres de grandeur, n'est-il pas raisonnable de choisir la solution "tunnel" qui préserve la nature ? C'est le moment ou jamais. Dans quelques décennies il sera trop tard pour regretter d'avoir fait le mauvais choix.
voir dans ce blog l'article du 30 juin 2021 "Enquête publique - Ligne 18 - modifications partie Ouest" qui donne le lien pour accéder à la totalité du dossier de l'EP en cours
Il s'agit du rapport établi par le commissaire enquêteur de l'enquête publique parcellaire ouverte du lundi 3 mai 2021 au vendredi 28 mai 2021 inclus, objet de l'article du 23 mai dans ce blog.
24/06/21 - Ligne 18 - EP parcellaire du 28 mai - rapport du commissaire enquêteur
NB : il ne s'agit pas de l'EP en cours portant sur les mofications de la partie Ouest de la Ligne 18, qui sera fermée le 30 juillet, annoncée dans l'article du 30 juin de ce blog.
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© France 24
L’historien Bernard Lugan, fondateur et directeur de la
publication L'Afrique réelle, distribuée par courrier électronique sur
abonnement, analyse les émeutes-pillages qui secouent la République d’Afrique
du Sud depuis le 8 juillet 2021. Elles ont été déclenchées par la fraction
pro-Zuma d’ethnie Zulu qui a pour objectif de déstabiliser la présidence de
Cyril Ramaphosa auquel elle reproche d’avoir évincé l’ancien président, son
leader Jacob Zuma, en 2018.
En voici un extrait qui décrit le déclin vertigineux et probablement
inexorable de la République d’Afrique du Sud qui était, juqu'à la transition De Klerk / Mandela en 1994, le pays le plus
prospère de l’Afrique australe. Ce même sort funeste avait
frappé, selon un scénario similaire, la Rhodésie (aujourd’hui Zimbabwe) deux décennies plus tôt.
Début de citation
En
réalité, depuis 1994, l’Afrique du Sud vit sur l’immense héritage légué par le
régime blanc. Ses nouveaux maîtres de l’ANC n’ayant pas réalisé les nécessaires
et colossaux investissements qu’il était pourtant urgent de faire afin de
simplement maintenir les capacités de production. En plus de cela, le climat
social a découragé les éventuels investisseurs qui ont préféré faire « glisser
» leurs activités vers des pays plus fiables.
L’agriculture
avait, elle aussi, perdu plusieurs centaines de milliers d’emplois avant le
coup mortel porté aux fermiers le mardi 27 février 2018, quand le parlement
sud-africain vota le commencement d’un processus de
nationalisation-expropriation sans compensation des 35.000 fermiers blancs.
Résultat,
au lieu de se combler, comme l’ANC le promettait en 1994, les inégalités
se sont au contraire davantage creusées. Aujourd'hui 75% des familles noires
vivent en dessous du seuil de pauvreté. Quant au chômage, il est
officiellement de 30% de la population active alors que les agences
indépendantes parlent de plus de 50% avec des pointes à 80% dans certaines
régions.
Enfin,
chiffre terrible pour tous ceux qui croyaient dans l’avenir de la société «
post-raciale » sud-africaine, aujourd’hui, le revenu de la tranche la plus
démunie de la population noire est inférieur de près de 50% à celui qu’il était
sous le régime blanc d’avant 1994 !!! Ce qui a fait dire à un célèbre
chroniqueur noir qu’au rythme auquel se décompose le pays, il va bientôt
falloir se décider à en « rendre la direction aux Boers » !!!
Une
remarque d’une grande profondeur car le soit disant héritage « négatif »
de «l 'apartheid » a, des années durant, servi d’excuse aux dirigeants
sud-africains. Or, aujourd’hui, personne ne peut plus nier qu’en 1994, quand le
président De Klerk hissa au pouvoir un Nelson Mandela incapable de le prendre
de force[3], il légua à l’ANC la première économie du continent, un pays doté
d’infrastructures de communication et de transport à l’égal des pays
développés, un secteur financier moderne et prospère, une large indépendance
énergétique, une industrie diversifiée, des capacités techniques de haut niveau
et la première armée africaine. Force est également de constater que, libérée
de l’ « oppression raciste », la « nouvelle Afrique du Sud » fut immédiatement
la proie du parti prédateur ANC dont les cadres, aussi incapables que
corrompus, eurent comme objectif principal leur propre enrichissement.
Aujourd'hui,
l’ANC n’est plus qu’une coquille vide ayant perdu toute forme idéologique
et politique. Fragmenté par une infinité de facteurs, il ne survit plus que
comme machine électorale destinée à distribuer des sièges de députés à ses
membres. Quant aux masses noires totalement paupérisées, elles constituent un
bloc explosif potentiel dont la colère se tournera un jour ou l’autre contre
les Blancs qui n’auront plus que le choix entre l’émigration ou le repli vers
l’ancienne province du Cap.
Fin de citation
Vous faites peut-être partie des membres qui ont oublié de payer leur cotisation pour l'exercice en cours (depuis novembre 2020). Une lettre de rappel vous est adressée à ce sujet mais vous pouvez d'ores-et-déjà faire le nécessaire.
Vous n'êtes pas encore membre mais souhaitez le devenir. Seule condition : habiter Versailles ou Le-Chesnay-Rocquencourt. L'exercice en cours est gratuit. Renseignez et envoyez le bulletin téléchargeable par le lien ci-dessous.
deBange-Houdon - bulletin d'adhésion/renouvellement
Vous souhaitez rafraîchir vos idées sur l'association. La brève note de présentation téléchargeable par le lien ci-dessous répond à la question.
En complément, des informations détaillées (communiquées en assemblée générale) sont consultables à partir des articles du 29/12/2020, du 24/02/2020 et du 17/12/2019 dans ce blog.
Le conseil d'administration de l'association respecte la parité ainsi que la proportion des membres ressortissant aux communes de Versailles et du Chesnay-Rocquencourt respectivement, proportion qui est aussi celle des populations de ces deux communes. Les administrateurs sont Alain Bertet, Tanguy Bouchaud, Anne Charlet, Scholastique de Tarlé, Marie-France Jourdan, Michel Morgenthaler, Gwilherm Poullennec et Aude Tézenas du Montcel.
L'Outil en Main, association fondée il y a trente ans, qui a pour objet d'initier aux métiers manuels les enfants de 8 à 14 ans, ouvre un centre à Versailles qui s'ajoutera aux 220 existant en France.
Télécharger la plaquette de présentation par le lien ci-dessous :
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| La Grande Ecurie au XVIIe siècle © chateauversailles.fr |
Le Campus Versailles, projet co-fondé par l’Académie de Versailles, CY Cergy Paris Université et le Château de Versailles, ouvrira ses portes en octobre prochain au sein de la Grande Écurie du Château. A l’occasion de son ouverture, il propose plusieurs cursus novateurs autour des métiers du patrimoine et de l’artisanat. Fédérant plus d'une centaine de lycées, d’établissements supérieurs, de centres de recherche et d’entreprises, il bénéficie du soutien de la Région Île-de-France, des départements des Hauts-de-Seine et des Yvelines et de la participation du Ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation. Labellisé Campus d’excellence, le Campus est aussi lauréat d’un Programme d’Investissement d’Avenir PIA opéré par la Caisse des Dépôts. La Fondation Bettencour, mécène fondateur et principal, s’est aussi engagée dès les débuts du projet à ses côtés. Il accueillera dès octobre des jeunes en formation initiale dans ses différents parcours avant de s’ouvrir à des publics moins jeunes dès 2022, en quête de formations continues ou de reconversion dans les domaines du Campus.
Le Campus d’excellence de Versailles
œuvre pour accompagner et accélérer l’insertion des jeunes issus des voies
professionnelles, la reconversion des adultes et le rayonnement des
savoir-faire dans cinq filières stratégiques de la culture et de l’économie françaises
en fort besoin de main d’œuvre, confrontées à la raréfaction des talents et aux
enjeux des transitions écologique et numérique : le patrimoine bâti, les métiers d’art et de design, le paysage et
l’horticulture, la gastronomie et le tourisme.
L’établissement propose ainsi deux cursus uniques d’orientation et
d’expérimentation des métiers des filières du patrimoine et de l’artisanat.
Accessibles sur Parcoursup, pour les bacheliers il est également ouvert aux
non-bacheliers et pour des jeunes « désorientés » qui auront l’occasion de
s’initier aux bases de métiers du patrimoine et de l’artisanat d’excellence,
auprès d’intervenants d’excellence formés à la pédagogie active, avec
l’accompagnement d’un mentor et d’un coach, pour les aider dans leur poursuite
d’études ou leur insertion dans le marché du travail.
Fondateurs :
Charline Avenel, rectrice de l'Académie de Versailles - Catherine Pégard, présidente de l'établissement public du château, du musée et du domaine national de Versailles - François Germinet, président de CY Cergy Paris Université - Valérie Pécresse, présidente de la Région Île-de-France
Comité de suivi :
Groupe Caisse des Dépôts, Banque des Territoires - Direction Régionale Interdépartementale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt - Fondation Bettencourt Schueller - Fondation Engie
Directrice opérationnelle :
Armelle Weisman
Source : Versailles Grand Parc
Dimanche 4 juillet, après un an d'interruption à cause du confinement, le conseil de quartier Notre-Dame a renoué avec sa tradition de tenir, plusieurs fois par an, le dimanche matin, une permanence sur la place du marché.
Une brigade d'une dizaine de membres (le conseil en compte 30 plus les élus municipaux habitant le quartier) se tenaient à disposition des passants pour leur expliquer ce qu'est un conseil de quartier et noter leurs observations et doléances, et même - mais c'est plus rare - leurs sujets de satisfaction. Que les questions soient suivies d'effet ou non, leurs émetteurs reçoivent une réponse à l'adresse qu'ils ont indiquée.
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© CNEWS
Le but de cet article est seulement de prendre date. Pour les détails et les commentaires on se reportera aux médias.
Deux soirées "Projet X" ont eu lieu coup sur coup à Versailles, le 25 juin et le 2 juillet, concentrées sur la place du marché Notre-Dame.
Ce genre d'évènement, appelé Projet X, qui consiste à rassembler des jeunes pour faire la fête, de manière impromptue, en lançant un avis sur Instagram ou réseau similaire, est très répandu, mais survient pour la pemière fois à Versailles. Il est imprévisible.
Les deux épisodes survenus à une semaine d'intervalle à Versailles auraient rassemblé quelques centaines de jeunes, parmi lesquels des fils et filles de famille du coin, mais aussi d'autres venus d'ailleurs et de moindre condition. Des rixes ont éclaté et la police a subi des jets de projectiles, mais on n'a pas à déplorer de blessés, ni de dégradations importantes. La police a procédé à une douzaine d'interpellations, notamment celle d'un voleur de téléphone. Selon une source policière, on n'a pas relevé la présence de Black Blocs. Cependant d'autres voyous, non labellisés, avaient infiltré le rassemblement. Une "légère blessure à l'arme blanche" a été signalée. Tant que c'est "léger", pas de quoi s'inquiéter.
Des voix compatissantes expliquent que "les pauvres jeunes, il faut bien qu'ils décompriment après le confinement".
Les organisateurs de Projet X sont insaisissables.
Selon certains, la version officielle serait édulcorée pour minimiser les incidents.
La tâche de la police n'est pas simple. Ce n'est pas un équipage de trois fonctionnaires qui peut contenir trois cents jeunes. D'importants renforts doivent être acheminés sans délai dès le début du rassemblement. Les services de renseignement veillent sur les réseaux et ne bénéficient que d'une courte anticipation.
Les parents feraient bien de s'occuper de leurs enfants adolescents.
La Guinguette installée sur l'arrière de l'ancienne poste avenue de Paris est, en fin de semaine, le lieu idoine offert aux jeunes pour se rassembler, boire un coup et danser. C'est là qu'ils peuvent décomprimer en sécurité.
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La Guinguette à
Versailles ©
ACTU.FR
Le passage piétons en question relie le trottoir impair de la rue Foch au square Jean-Houdon. Il est très fréquenté par des jeunes enfants à pied ou en poussette qui se rendent sur l'aire de jeu du square. C'est un passage "libre" en ce sens que son fanchissement n'est régulé par aucun feu rouge. Les véhicules doivent stopper dès qu'un piéton pose le pied dessus. Il est implanté sur une portion de voie à sens unique nord-sud. Les véhicules arrivant de la rue du Maréchal de Lattre de Tassigny, laquelle est en déclivité descendante, dont la vitesse autorisée est de 50 km/h, et ceux venant de la rue du Général Mangin, ont tendance à rouler à vive allure et démarrent en trombe lorsque les feux passent au vert à l'amont Les conducteurs, même de bonne foi, sont enclins à penser, bien à tort, que le passage piétons est interdit de franchissement par les piétons lorsque le feu du carrefour est vert pour les véhicules.
La situation était rendue dangereuse par une mauvaise visibilité des véhicules vers les piétons se déplaçant vers le square, et vice-versa, en raison des véhicules en stationnement, souvent des utilitaires, souvent en infraction, sur la place PMR qui était juste à l'amont du passage.
La modification apportée en intervertissant la place PMR à l'amont et l'emplacement pour motos à l'aval a grandement amélioré la visibilté. L'affaire a été réglée en une semaine par l'effet de l'excellente synergie entre l'association deBange-Houdon, le conseil de quartier Notre-Dame et les services techniques municipaux.
Les deux photos illustrent l'état final après modification.
Les 42 candidats qui ont été élus dans les 21 cantons du département appartiennent tous à la majorité départementale EPY (microparti Ensemble Pour les Yvelines). C'est un cas unique en France.
Président
Pierre Bédier
Les 12 vice-présidents
Pierre Fond : 1er Vice-président délégué à
l’Intercommunalité, l’Europe et la Métropole de Paris.
Marie-Hélène Aubert : 2e Vice-présidente déléguée à
l’Autonomie et la Coopération décentralisée.
Karl Olive : 3e Vice-président délégué à la
Communication et au Porte-parolat.
Catherine Arenou : 4e Vice-présidente déléguée à
l’Insertion et à la rénovation urbaine.
Richard Delepierre : 5e Vice-président délégué aux
Mobilités et aux Transports.
Cécile Dumoulin : 6e Vice-présidente déléguée aux
Collèges et au Numérique scolaire.
Nicolas Dainville : 7e Vice-président délégué à
l’Enseignement supérieur, la Recherche, l’Industrie et les Technologies.
Joséphine
Kollmannsberger : 8e Vice-présidente déléguée à la Culture et au Tourisme.
Laurent Richard : 9e Vice-président délégué à la Santé
Pauline Winocour
Lefevre : 10e
Vice-présidente déléguée à la Ruralité, l’Agriculture, l’Alimentation et les
Circuits courts.
Geoffroy Bax de
Keating : 11e
Vice-président délégué à la Protection de l’enfance.
Nicole Bristol : 12e Vice-présidente déléguée à la
Biodiversité, au Climat et au Développement durable.
