3 octobre 2017

Sûreté - Malika, Jeannette, Leila, Sonia, Lydia, Chahdortt, Nadia, des amazones qui ne mâchent pas leurs mots

Nous devrons beaucoup à la clairvoyance et au courage de ces femmes issues du monde islamique qui, journaliste, essayiste, femme politique, écrivain, disent ce qu'elles voient, ce qu'elles ressentent et ce qu'elles préconisent.
Elles sont plus légitimes que bien d'autres pour porter un avis pertinent sur le sujet de l'islam.
Pour en savoir plus sur chacune d'elles, il suffit de consulter internet . Elles s'expriment régulièrement dans les médias ou dans leurs livres et à l'occasion de conférences.
Elles dénoncent les dérives de l'islam et incarnent de manière flamboyante une image à l'opposé des conceptions rétrogrades des obscurantistes moyennageux, ce qui ne plaît évidemment pas à tout le monde. " C'est aux musulmans de s'adapter et non pas à la société française. Il faut expurger le Coran" dit notamment Lydia Guirous.

Malika Sorel (née en France de parents algériens)
Jeannette Bougrab (née en France, fille de harki)
Leïla Slimani (née à Rabat)
Sonia Mabrouk (née à Tunis)
Lydia Guirous (née à Tizi Hibel en Kabylie)
Chahdortt Djavann (née en Iran)
Nadia Hamour (franco-algérienne)
Nadia Hamour

Chahdortt Djavann


Malika Sorel

Sonia Mabrouk

Lydia Guirous
Jeannette Bougrab



Leila Slimani


A l'étranger, la même action est menée notamment par la célèbre Taslima Nasreen originaire du Bangladesh, que l'on compare à son homologue masculin Salman Rushdie. Tous deux sont frappés d'une fatwa et contraints à l'exil.


Pour être équitable, il faudrait citer celles qui professent un islamisme dit radical, comme cette députée récemment élue sous la bannière de La France Insoumise. Ou celle, ambiguë, qui reste obstinément emballée dans son hijab et semble avoir fait son fonds de commerce d'un massacre dont elle a pourtant subi la tragique conséquence. Nous ne serons pas équitable.

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