17 novembre 2019

La chienlit générée par les Gilets Jaunes - saccages du 16 novembre

En contraste avec la dignité de la "journée du Deuil allemand" relatée ci dessous, voici deux images du saccage de la stèle et de la statue du maréchal Juin perpétré la veille, le 16 novembre, place d'Italie.

Les appréciations formulées le lendemain par le ministre de l'Intérieur le lendemain, escamotant le caractère sacrilège de ces actes, sont navrantes.



Combien de temps encore laisserons-nous bafouer ainsi notre mémoire nationale ? Combien de temps encore les honnêtes gens paieront-ils la réparation des dégâts ?
On aimerait voir des forces de l'ordre recevant des ordres adaptés et une justice fermement punitive. 
Il est trop facile pour les Gilets Jaunes de dire "Ce n'est pas nous, ce sont les black blocks". Lorsque les Gilets Jaunes ou ce qu'il en reste cesseront leurs manifestations, lassantes, les casseurs auront moins d'occasions de s'exprimer de manière aussi inacceptable. Et aussi, parmi les Gilets Jaunes résiduels, plus d'un se déclare favorable à la violence et aux destructions.

Ces gens sont des ennemis de la France. Les premières mission de l'Etat sont d'assurer la sécurité des citoyens et de faire régner l'ordre.

Dans les commentaires des autorités, des journalistes et des experts de tout poil on entend peu parler du délit de visage dissimulé. La loi 2010-1192 du 11 juillet 2010, très courte précise en son article 1 : "Nul ne peut, dans l'espace public, porter une tenue destinée à dissimuler son visage.". Il serait bon de la faire respecter et d'appliquer les sanctions, avant la casse.

Toujours à propos de lois, l'action déterminée des forces progressistes a conduit à la promulgation de la "loi anti-fessée" du 19 juillet 2019. Ces mêmes forces progressistes seraient bien inspirées de faire passer une loi contraire visant les casseurs.

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