Coronavirus - verbatims

C’est un cri répété par mille sentinelles,

Un ordre renvoyé par mille porte-voix

Dans son poème Les Phares (Les fleurs du mal 1857) Beaudelaire rend hommage aux grands peintres.
Chaque époque a ses phares.

Sans objet : on ne l'entend plus.

« La crise du coronavirus constitue une sorte d'ultimatum de la nature. »

« Avec la mondialisation effrénée, le mal se propage plus vite que le bien. »
«Le temps est venu d'applaudir la vie. Le temps est venu de créer un lobby des consciences.»

« Plus jamais ça ! » 

« Il y a désormais un monde à revoir complètement. En matière de droits, de protection sociale, de santé, d’environnement, etc. »

« Sur la fin de l’épidémie, hélas, il a l’air assez résistant à la chaleur et aux beaux jours ce virus, de ce qu’on en sait. Mais en réalité, vous savez ce qui fait que la grippe s’arrête au printemps ? Ce n’est pas la chaleur, c’est qu’en fait, au printemps, qu’est-ce qui se passe ? On ouvre les fenêtres, on ouvre les portes, on n’est plus confiné dans des lieux, on va dehors. Et donc, c’est le confinement qui provoque la circulation du virus. » (09/03/20)

« J’assume parfaitement de mentir pour protéger le président. » (12/07/17)

« Nous avons conscience que nos concitoyens ne mangent pas du homard tous les jours, bien souvent c’est plutôt des kebabs. » (16/07/19)

« Demain matin j’utiliserai ma voiture de fonction, donc je serai de cœur avec tous les Franciliens qui galèreront dans le métro. » (12/09/19)

« Partir à la retraite c’est angoissant et souvent on en meurt parce qu’on ne travaille plus. » (24/01/20)

« Il faut avoir conscience que 80% des malades ont un gros rhume, une grosse grippe au maximum. Il y a 20% de cas qui sont compliqués. On ne va pas arrêter le pays. » (05/03/20)

« Vous savez quoi ? Je ne sais pas utiliser un masque. Je pourrais dire : ‘Je suis une ministre, je me mets un masque’, mais en fait, je ne sais pas l’utiliser. Les masques ne sont pas nécessaires pour tout le monde. L’utilisation d’un masque, ce sont des gestes techniques précis, sinon on se gratte le nez sous le masque, on a du virus sur les mains ; sinon on en a une utilisation qui n’est pas bonne, et ça peut même être contre-productif. » (20/03/20)

« Nous ne demandons pas à un enseignant qui aujourd’hui ne travaille pas de traverser toute la France pour aller cueillir des fraises. » (25/03/20)

« La crise du COVID19 favorise la propagation de fakenews. Plus que jamais, il est nécessaire de se fier à des sources d’informations sûres et vérifiées. C’est pourquoi le site du gouvernement propose désormais un espace dédié » (30/04/20)

« Depuis le début de cette crise, le gouvernement a été dans une transparence totale. » (08/05/20)