L'affaire de Lattre n'avance pas.
La Mairie n'a toujours pas examiné le projet de sens unique qui lui a été présenté le 27 septembre 2007. C'est pourtant un compromis rationnel et peu coûteux entre la sécurité des véhicules automobiles, des vélos et des piétons, les exigences de Phébus, le stationnement et la qualité de vie des riverains.
La Mairie met fin à la "commission de suivi" sur l'affaire de Lattre, commission mise en place par Monsieur Pinte le 1er septembre 2006. Il y aura eu en tout et pour tout 4 réunions entre la première le 27 septembre 2006 et la dernière le 28 mars 2007. La suite est renvoyée aux conseils de quartier.
Pour consulter l'intégralité de la note d'information n°5, cliquez sur le lien ci-dessous.
note d'information n°5 - 08 mai 07.doc
29 mars 2007
TCSP : délibération 2006.10. 213 du conseil municipal de Versailles
Cette délibération prise en séance du 25 octobre, comme annoncé dans notre note d'information n°3, pose les modalités de la concertation à Versailles et relate un intéressant et instructif débat.
Nous en recommandons la lecture attentive.
Cliquez sur le lien ci-dessous :
TCSP - Conseil municipal octobre 2006 délibération 2006.10.213.doc
Nous en recommandons la lecture attentive.
Cliquez sur le lien ci-dessous :
TCSP - Conseil municipal octobre 2006 délibération 2006.10.213.doc
TCSP : article dans les Nouvelles sur les réunion au Chesnay
Voir "Les Nouvelles" du mercredi 28 mars 2007, cahier "environs de Versailles" page 23.
Titre: "Le maire pas vraiment emballé".
Le journaliste rapporte les réunions "Debasseux" et "rue de Versailles".
En encadré : "66% contre", l'analyse des registres de concertation faite par l'association de Bange - Houdon.
Titre: "Le maire pas vraiment emballé".
Le journaliste rapporte les réunions "Debasseux" et "rue de Versailles".
En encadré : "66% contre", l'analyse des registres de concertation faite par l'association de Bange - Houdon.
TCSP : réunion de concertation au Chesnay le 26 mars 2007
Cette réunion convoquée et animée par Monsieur Philippe Brillaut, maire du Chesnay, fait suite à celle du 22 mars et réunit cette fois les riverains de la rue de Versailles, qui constitue à l'évidence le point chaud du projet dans la traversée du Chesnay.
On dénombre environ 150 participants, dont plusieurs représentants du conseil municipal, M. Noël Dussac représentant Phébus, le président et plusieurs membres de plusieures associations dont notamment l'association des Habitants du Chesnay (AHC), l'association des Commerçants du Chesnay, l'association Le Chesnay Village, l'association de Bange - Houdon.
La plupart des éléments généraux expliqués et développés lors de la réunion du 22 mars sont répétés. Nous ne signalons dans la suite que les points nouveaux ou repris avec plus de précision ou d'insistance.
Le STIF finance l'étude mais celle-ci est exécutée, dans le cadre d'un "marché à bons de commande", par un groupement multidisciplinaire de bureaux d'études et d'urbanistes.
La place de la Loi est une étape incontournable du tracé parce qu'elle est la jonction avec les autres lignes de transport qui n'ont pas de droit d'exploitation dans le périmètre urbain.
La largeur de la rue Debasseux a été vérifiée et elle est exactement de 7 m sans possibilité d'augmentation à cause des arbres.
Rien d'autre que le tracé n'est arrêté pour le moment.
La rue de Versailles comporte de nombreux commerces et son aménagement actuel est un compromis qui donne satisfaction. Le modifier entraînerait la mort des commerces. Deux portions sont à distinguer, séparées par la place Simart, qui d'ailleurs n'a de place que le nom. Le tronçon vers la place de la Loi, qui comporte la majorité des commerces, est particulièrement sensible.
Une idée simple et forte défendue par les commerçants et par d'autres : pas de TCSP rue de Versailles, le faire passer boulevard Saint-Antoine par où il rejoindra bien plus facilement l'hôpital Mignot puisqu'on veut rapidité et régularité. "On ne se soucie visiblement pas de l'avis des gens". Applaudissements.
Le maire dit qu'il n'est pas question de créer des voies nouvelles (c'est à dire hors du tracé arrêté).
L'idée de petits bus plus fréquents, d'un gabarit adapté au contexte urbain, réapparait. Ces navettes pourraient faire le lien entre le centre du Chesnay et la ligne TCSP déportée.
Les voies en site propre seront utilisées par tous les services prioritaires. La caserne de pompiers actuellement installée près de la mairie de Versailles devrait déménager sur le terrain Bull près du Coeur Volant.
Le représentant de Phébus informe que des lignes seraient fusionnées et que la fréquence visée est de 5 mn (dans chaque sens.
Monsieur Brillaut répète qu'il est catégoriquement opposé au TCSP à double voie.
Evocation d'un sorte de futur "droit de propriété" du STIF sur les voies aménagées qu'il aurait financées.
On dénombre environ 150 participants, dont plusieurs représentants du conseil municipal, M. Noël Dussac représentant Phébus, le président et plusieurs membres de plusieures associations dont notamment l'association des Habitants du Chesnay (AHC), l'association des Commerçants du Chesnay, l'association Le Chesnay Village, l'association de Bange - Houdon.
La plupart des éléments généraux expliqués et développés lors de la réunion du 22 mars sont répétés. Nous ne signalons dans la suite que les points nouveaux ou repris avec plus de précision ou d'insistance.
Le STIF finance l'étude mais celle-ci est exécutée, dans le cadre d'un "marché à bons de commande", par un groupement multidisciplinaire de bureaux d'études et d'urbanistes.
La place de la Loi est une étape incontournable du tracé parce qu'elle est la jonction avec les autres lignes de transport qui n'ont pas de droit d'exploitation dans le périmètre urbain.
La largeur de la rue Debasseux a été vérifiée et elle est exactement de 7 m sans possibilité d'augmentation à cause des arbres.
Rien d'autre que le tracé n'est arrêté pour le moment.
La rue de Versailles comporte de nombreux commerces et son aménagement actuel est un compromis qui donne satisfaction. Le modifier entraînerait la mort des commerces. Deux portions sont à distinguer, séparées par la place Simart, qui d'ailleurs n'a de place que le nom. Le tronçon vers la place de la Loi, qui comporte la majorité des commerces, est particulièrement sensible.
Une idée simple et forte défendue par les commerçants et par d'autres : pas de TCSP rue de Versailles, le faire passer boulevard Saint-Antoine par où il rejoindra bien plus facilement l'hôpital Mignot puisqu'on veut rapidité et régularité. "On ne se soucie visiblement pas de l'avis des gens". Applaudissements.
Le maire dit qu'il n'est pas question de créer des voies nouvelles (c'est à dire hors du tracé arrêté).
L'idée de petits bus plus fréquents, d'un gabarit adapté au contexte urbain, réapparait. Ces navettes pourraient faire le lien entre le centre du Chesnay et la ligne TCSP déportée.
Les voies en site propre seront utilisées par tous les services prioritaires. La caserne de pompiers actuellement installée près de la mairie de Versailles devrait déménager sur le terrain Bull près du Coeur Volant.
Le représentant de Phébus informe que des lignes seraient fusionnées et que la fréquence visée est de 5 mn (dans chaque sens.
Monsieur Brillaut répète qu'il est catégoriquement opposé au TCSP à double voie.
Evocation d'un sorte de futur "droit de propriété" du STIF sur les voies aménagées qu'il aurait financées.
TCSP : réunion de concertation au Chesnay le 22 mars 2007
Réunion de concertation avec les riverains de l'avenue Debasseux et de l'avenue du Général Leclerc, convoquée et animée par Monsieur Philippe Brillaut, maire du Chesnay.
Environ 40 participants, dont plusieurs représentants du conseil municicipal, M. Noël Dussac représentant Phébus, le président et plusieurs membres de l'association de Bange - Houdon.
Le maire dit être "entré sur la pointe des pieds" dans ce projet, dès 1999, par solidarité avec Versailles.
115.000 habitants desservis, 46.000 emplois dont 10.000 au Chesnay.
Le Chesnay et Versailles ont sollicité le STIF pour qu'il finance les études.
Ne pas confondre projet TCSP et plan de circulation.
Il doit transmettre au STIF courant mai un cahier des charges établi en concertation zone par zone. Deux zones critiques : 1) Debasseux-Leclerc 2) rue de Versailles. Réunion le 22 mars pour 1) et le 26 mars pour 2).
Le maire est absolument opposé aux sites propres à double sens sur des voies qui manifestement ne sont pas assez larges.
Le président de l'association de Bange Houdon expose les résultats de l'analyse des commentaires dans les registres de concertation (voir note d'information n°4). Il dit qu'il faut bien sûr voir loin et améliorer les transports, que le projet doit s'adaper à la ville et non le contraire et que l'avis des versaillais rejoint celui des chesnaysiens. Il demande, sans succès, des précisions sur les conditions contractuelles de Phébus.
Le trafic passagers de Phébus est stagnant à 16,5 millions de voyages par an.
La concession de Phébus a une durée de 10 ans et arrive à son terme en 2008. Phébus vient néanmoins d'investir 200.000 euros pour une pré-étude.
La municipalité ne paie à Phébus que le bus de nuit.
L'impact financier du projet sur la ville du Chesnay, s'il voyait le jour, est évalué à 30 millions d'euros.
Un sondage à main levée parmi les riverains présents de Debasseux donne :
a) 13 contre le stationnement entre les arbres et 4 pour étudier la question
b) 0 pour l'enlèvement des arbres
c) 0 pour installer 2 voies en site propre.
Le public est unanimement contre la réduction de la capacité de stationnement.
Le maire fait circuler dans l'assistance une étude du STIF et une étude de Pébus.
Le matériel serait pneumatique. L'étude Phébus mise temporairement à disposition des participants montre des engins articulés de 150 places.
Le tracé, avec ses étonnants crochets, est l'objet de plusieurs critiques. Des variantes sont évoquées.
Certains demandent pourquoi dépenser tellement d'argent pour un bénéfice peu clair.
Les chesnaysiens inclinent à considérer que le service de bus et la circulation sont satisfaisants chez eux et que les problèmes sont chez les versaillais.
Le maire et son conseil municipal ne donneront pas leur accord pour un projet qui ne respectera pas un certain nombre de conditions, lesquelles tournent essentiellement autour de la qualité de vie des habitants et la sauvegarde du cadre urbain.
Environ 40 participants, dont plusieurs représentants du conseil municicipal, M. Noël Dussac représentant Phébus, le président et plusieurs membres de l'association de Bange - Houdon.
Le maire dit être "entré sur la pointe des pieds" dans ce projet, dès 1999, par solidarité avec Versailles.
115.000 habitants desservis, 46.000 emplois dont 10.000 au Chesnay.
Le Chesnay et Versailles ont sollicité le STIF pour qu'il finance les études.
Ne pas confondre projet TCSP et plan de circulation.
Il doit transmettre au STIF courant mai un cahier des charges établi en concertation zone par zone. Deux zones critiques : 1) Debasseux-Leclerc 2) rue de Versailles. Réunion le 22 mars pour 1) et le 26 mars pour 2).
Le maire est absolument opposé aux sites propres à double sens sur des voies qui manifestement ne sont pas assez larges.
Le président de l'association de Bange Houdon expose les résultats de l'analyse des commentaires dans les registres de concertation (voir note d'information n°4). Il dit qu'il faut bien sûr voir loin et améliorer les transports, que le projet doit s'adaper à la ville et non le contraire et que l'avis des versaillais rejoint celui des chesnaysiens. Il demande, sans succès, des précisions sur les conditions contractuelles de Phébus.
Le trafic passagers de Phébus est stagnant à 16,5 millions de voyages par an.
La concession de Phébus a une durée de 10 ans et arrive à son terme en 2008. Phébus vient néanmoins d'investir 200.000 euros pour une pré-étude.
La municipalité ne paie à Phébus que le bus de nuit.
L'impact financier du projet sur la ville du Chesnay, s'il voyait le jour, est évalué à 30 millions d'euros.
Un sondage à main levée parmi les riverains présents de Debasseux donne :
a) 13 contre le stationnement entre les arbres et 4 pour étudier la question
b) 0 pour l'enlèvement des arbres
c) 0 pour installer 2 voies en site propre.
Le public est unanimement contre la réduction de la capacité de stationnement.
Le maire fait circuler dans l'assistance une étude du STIF et une étude de Pébus.
Le matériel serait pneumatique. L'étude Phébus mise temporairement à disposition des participants montre des engins articulés de 150 places.
Le tracé, avec ses étonnants crochets, est l'objet de plusieurs critiques. Des variantes sont évoquées.
Certains demandent pourquoi dépenser tellement d'argent pour un bénéfice peu clair.
Les chesnaysiens inclinent à considérer que le service de bus et la circulation sont satisfaisants chez eux et que les problèmes sont chez les versaillais.
Le maire et son conseil municipal ne donneront pas leur accord pour un projet qui ne respectera pas un certain nombre de conditions, lesquelles tournent essentiellement autour de la qualité de vie des habitants et la sauvegarde du cadre urbain.
28 mars 2007
Vu d'avion : le trafic au square Jean Houdon et dans les rue confluentes
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square Houdon - analyse photographique du trafic - 17 mar 07.xls
square Houdon - analyse photographique du trafic - 17 mar 07.xls
TCSP : dossier du STIF 4e trimestre 2006
Un double clic sur chaque image permet de l'agrandir pour la rendre lisible.
Nous attirons votre attention sur les points suivants :
page 2 : "Les villes de Versailles et du Chesnay souhaitent ainsi doter l'agglomération d'un axe prioritaire de transports collectifs intégré dans le réseau de transport urbain existant et offrant ainsi une alternative crédible à l'usage de la voiture et une opportunité d'harmonisation urbaine." (donc ce sont Versailles et le Chesnay qui demandent)
page 3 : "En sa séance du 10 décembre 2003, le conseil d'administration du Syndicat des transports d'Ile de France a arrêté les objectifs suivants du projet soumis à concertation préalable : [ ] (donc c'est le STIF qui "arrête les objectifs")
page 4 : " [ ] objectifs suivants :
- un site propre majoritairement bidirectionnel [ ]
- maintien d'un minimum d'offre de stationnement sur voirie [ ]
- maintien ou création [ ] d'un itinéraire deux roues [ ]
- possibilité d'une mise en place progressive du site propre avec dans un premier temps une mixité de la circulation [ ] puis dans un deuxième temps une circulation en site propre
- [ ] le site propre sera utilisé par d'autres lignes de transport.
page 8 :
calendrier [ ]
automne 2006 : concertation préalable
Le schéma de principe du projet [ ] pourrait être présenté au conseil du STIF dans le courant de l'année 2007.
financement
les études [ ] 50% par l'Etat et 50% par la Région [ ]
le coût [ ] 7,2 M€ par km (valeur 2005 hors matériel roulant). Rien n'est encore décidé sur le financement des travaux.
page 13 :
Square Jean Houdon Versailles (photo montrant le passage de la ligne rouge du projet à travers le square)
Nous attirons votre attention sur les points suivants :
page 2 : "Les villes de Versailles et du Chesnay souhaitent ainsi doter l'agglomération d'un axe prioritaire de transports collectifs intégré dans le réseau de transport urbain existant et offrant ainsi une alternative crédible à l'usage de la voiture et une opportunité d'harmonisation urbaine." (donc ce sont Versailles et le Chesnay qui demandent)
page 3 : "En sa séance du 10 décembre 2003, le conseil d'administration du Syndicat des transports d'Ile de France a arrêté les objectifs suivants du projet soumis à concertation préalable : [ ] (donc c'est le STIF qui "arrête les objectifs")
page 4 : " [ ] objectifs suivants :
- un site propre majoritairement bidirectionnel [ ]
- maintien d'un minimum d'offre de stationnement sur voirie [ ]
- maintien ou création [ ] d'un itinéraire deux roues [ ]
- possibilité d'une mise en place progressive du site propre avec dans un premier temps une mixité de la circulation [ ] puis dans un deuxième temps une circulation en site propre
- [ ] le site propre sera utilisé par d'autres lignes de transport.
page 8 :
calendrier [ ]
automne 2006 : concertation préalable
Le schéma de principe du projet [ ] pourrait être présenté au conseil du STIF dans le courant de l'année 2007.
financement
les études [ ] 50% par l'Etat et 50% par la Région [ ]
le coût [ ] 7,2 M€ par km (valeur 2005 hors matériel roulant). Rien n'est encore décidé sur le financement des travaux.
page 13 :
Square Jean Houdon Versailles (photo montrant le passage de la ligne rouge du projet à travers le square)
22 mars 2007
note d'information n°4 du 17 mars 2007
Cliquez sur le lien ci-dessous pour faire apparaître la note d'information n°4 :
note d'information n°4 - 17 mar 07.doc
note d'information n°4 - 17 mar 07.doc
21 mars 2007
TCSP : suite de la concertation au Chesnay
Monsieur Philippe Brillaut, maire du Chesnay, par lettre circulaire adressée aux riverains des avenues Debasseux et du Général Leclerc, les invite à une réunion de concertation spécifique à ce quartier :
jeudi 22 mars 2007 à 20h30
salle des fêtes, 50-52 rue de Versailles
NB : d'autres personnes concernées et intéressées sont conviées, avis aux riverains de la rue du Maréchal de Lattre de Tassigny passage prévu pour le TCSP, en lien direct avec la voie concernée.
o
8 mars 2007
TCSP/LHQS : quelques réflexions
- le développement harmonieux des villes impose une vision à long terme,
- les transports en commun en sont un élément mais certainement pas le seul
- les habitants ont voix au chapitre pour tout ce qui touche à leur cadre de vie
- les habitants ne doivent pas s'opposer par principe au changement, mais ils doivent conserver la maîtrise de leur sort
- les électeurs ont donné à leurs élus le mandat de prendre soin d'eux
- les électeurs ne leur ont pas donné carte blanche
- on pourrait commencer par définir objectivement les besoins et les attentes
- les besoins pour les bus ne sont pas seulement ceux des voyageurs et de l'exploitant
- les habitants ont d'autres besoins : cadre de vie, tranquillité, sécurité, stationnement, circulation des piétons et des véhicules privés, etc.
- ce n'est pas à la ville et à ses habitants de s'adapter aux transports en commun, mais le contraire
- quel est l'avis de l'Architecte des Bâtiments de France sur les modifications envisagées ?
- par exemple : si les gros bus ne passent pas il faut en prévoir de plus petits
- l'argent public sort de la poche des habitants
- les habitants veulent en avoir pour leur argent
- quelles sont les différentes solutions envisageables et quel est le coût de chacune ?
- pourquoi n'en présenter qu'une seule et qui a du mal à trouver son nom ?
- les éléments présentés en février 2007 sont bien flous
- la chaîne de décision n'est pas claire, qui mène la danse : le STIF ?
- qu'advient-il si l'une des villes concernées, Versailles ou le Chesnay, se déclare contre ?
- quelles sont les voies de recours, les points de non-retour ?
- comment parler loyalement de concertation sans en définir les modalités et en particulier le calendrier ?
TCSPP/LHQS : lisez "Evènements" le magazine du Chesnay, n° 185 de février 2007
Coiffé du titre "LE TRANSPORT SE DECIDE EN COMMUN", cet article sur 8 pages est riche d'informations.
Il est construit sur le principe du "micro trottoir". Chaque témoignage est assorti de la photo du témoin. On trouve aussi des rappels historiques, des photos anciennes et actuelles, la définition du STIF, des panneaux de l'exposition, une interview d'Alain Richner directeur de Phébus et un point sur l'évolution des lignes de bus actuelles.
Dans son éditorial, Monsieur Philippe Brillaut, maire du Chesnay, expose ses vues sur le projet.
Il est construit sur le principe du "micro trottoir". Chaque témoignage est assorti de la photo du témoin. On trouve aussi des rappels historiques, des photos anciennes et actuelles, la définition du STIF, des panneaux de l'exposition, une interview d'Alain Richner directeur de Phébus et un point sur l'évolution des lignes de bus actuelles.
Dans son éditorial, Monsieur Philippe Brillaut, maire du Chesnay, expose ses vues sur le projet.
6 mars 2007
Grozny : le jumelage n'est plus à l'ordre du jour
On aura compris que c'est par plaisanterie que nous avons évoqué un jumelage entre Grozny, la malheureuse capitale défoncée de la Tchétchénie, et Versailles qui offre parfois un spectacle de voirie pitoyable dont la durée est excessive. Voir les photos publiées précédemment.
La situation a été presqu'entièrement corrigée fin février. Après plus de deux mois de situation fortement dégradée, le confort et la sécurité des piétons sont ainsi rétablis au niveau requis.
La situation a été presqu'entièrement corrigée fin février. Après plus de deux mois de situation fortement dégradée, le confort et la sécurité des piétons sont ainsi rétablis au niveau requis.
Les Nouvelles de Versailles : interview parue dans l'édition du 21 février 2007
Sous le titre "Nous voulons une vraie concertation", un article signé Stéphane Gauthier (rédacteur en chef adjoint) expose les sujets d'actualité traités par l'association de Bange - Houdon : TCSP, rue du Maréchal de Lattre de Tassigny, respect du cadre historique et résidentiel de Versailles, préservation du square Jean Houdon, exigence d'une information et d'une concertation loyales, inquiétude sur le flou des projets.
C'est avec une plume alerte que le journaliste exprime le résultat de l'interview donnée à la brasserie Le Square par le président entouré d'une demi douzaine de membres représentatifs des différents quartiers et des commerçants. Il retire l'impression d'être en présence d'un "village gaulois", ce qui peut être interprété comme une reconnaissance de la détermination qu'il a constatée chez ses interlocuteurs.
Après avoir précisé que l'association n'est pas opposée à l'idée d'améliorer le transport en commun, il rappelle la pétition de juillet aux 1200 signatures contre l'aménagement de la rue de Lattre et il souligne l'anomalie consistant à fonder l'énorme et coûteux projet du TCSP (ou LHQS) sur un sondage fait par Phébus auprès de 1300 voyageurs sans consulter 100.000 habitants qui sont avant tout des résidants et des payeurs et qui veulent avoir voix au chapitre.
C'est avec une plume alerte que le journaliste exprime le résultat de l'interview donnée à la brasserie Le Square par le président entouré d'une demi douzaine de membres représentatifs des différents quartiers et des commerçants. Il retire l'impression d'être en présence d'un "village gaulois", ce qui peut être interprété comme une reconnaissance de la détermination qu'il a constatée chez ses interlocuteurs.
Après avoir précisé que l'association n'est pas opposée à l'idée d'améliorer le transport en commun, il rappelle la pétition de juillet aux 1200 signatures contre l'aménagement de la rue de Lattre et il souligne l'anomalie consistant à fonder l'énorme et coûteux projet du TCSP (ou LHQS) sur un sondage fait par Phébus auprès de 1300 voyageurs sans consulter 100.000 habitants qui sont avant tout des résidants et des payeurs et qui veulent avoir voix au chapitre.
28 février 2007
TCSP : épreuve de mathématiques pour l'agrégation en transports urbains
Avant de lire l'énoncé de l'épreuve pour l'agrégation, il faut prendre connaissance de l'énoncé et du corrigé de celle pour le certificat d'études qui figure sur le message précédent,c'est à dire au-dessous.
La vitesse moyenne d'un bus lorsqu'il roule entre deux arrêts est de 36,5 km/h.
La distance entre deux arrêts est de 326 m.
Au démarrage, le bus accèlère sur 50 m pour atteindre sa vitesse maximale. De manière symétrique le bus décélère sur une distance de 50 m avant le prochain arrêt.
Quelle est la vitesse maximale supposée constante entre la fin de l'accélération et de début de la décélération ?
Même question si la vitesse moyenne passe à 52,9 km/h.
Corrigé du problème :
le temps t1 nécessaire pour atteindre la vitesse Vmax dans la phase d'accélération sur 50 m est égal au temps t3 nécessaire pour la phase symétrique de décélération : t1 = t3 = (2 x 0,050 km) / Vmax = 0,1/Vmax
le temps t2 nécessaire pour parcourir à la vitesse constante Vmax la distance qui reste entre la distance d'accélération et la distance de décélération, soit 0,326 - 0,050 - 0,050 = 0,226 km, est : t2 = 0,226 / Vmax
la durée totale du parcours à la vitesse moyenne de 36,5 km/h est : t1 + t2 + t3 = 0,336 / 36,5
on a donc : Vmax = (0,426 x 36,5)/0,336 = 46,3 km/h
et si la vitesse moyenne passe à 52,9 km/h, alors : Vmax = (0,426 x 52,9)/0,336 = 67,1 km/h
La vitesse moyenne d'un bus lorsqu'il roule entre deux arrêts est de 36,5 km/h.
La distance entre deux arrêts est de 326 m.
Au démarrage, le bus accèlère sur 50 m pour atteindre sa vitesse maximale. De manière symétrique le bus décélère sur une distance de 50 m avant le prochain arrêt.
Quelle est la vitesse maximale supposée constante entre la fin de l'accélération et de début de la décélération ?
Même question si la vitesse moyenne passe à 52,9 km/h.
Corrigé du problème :
le temps t1 nécessaire pour atteindre la vitesse Vmax dans la phase d'accélération sur 50 m est égal au temps t3 nécessaire pour la phase symétrique de décélération : t1 = t3 = (2 x 0,050 km) / Vmax = 0,1/Vmax
le temps t2 nécessaire pour parcourir à la vitesse constante Vmax la distance qui reste entre la distance d'accélération et la distance de décélération, soit 0,326 - 0,050 - 0,050 = 0,226 km, est : t2 = 0,226 / Vmax
la durée totale du parcours à la vitesse moyenne de 36,5 km/h est : t1 + t2 + t3 = 0,336 / 36,5
on a donc : Vmax = (0,426 x 36,5)/0,336 = 46,3 km/h
et si la vitesse moyenne passe à 52,9 km/h, alors : Vmax = (0,426 x 52,9)/0,336 = 67,1 km/h
TCSP : épreuve de calcul pour le certificat d'études
Un autobus parcourt en 20 minutes un trajet de 7,5 km comportant 23 stations.
A chaque station l'arrêt dure 20 secondes, durée supposée permettre la descente et la montée des passagers, dont certains sont handicapés, ainsi que le temps nécessaire au conducteur pour vendre quelques tickets.
Quelle est la vitesse moyenne du bus entre deux arrêts ?
Même question en supposant que l'arrêt moyen dure 30 secondes.
Corrigé du problème :
23 arrêts x 20 secondes = 460 secondes, soit 7,7 minutes pendant lesquelles le bus est arrêté
pour parcourir les 7,5 km il reste donc 20 - 7,7 = 12,3 minutes, soit 0,2 heure
la vitesse moyenne du bus entre les arrêts de 20 secondes est donc 7,5 km / 0,2 h = 36,5 km/h
si la durée d'arrêt passe à 30 secondes, la vitesse moyenne entre arrêts passe à 52,9 km/h
A chaque station l'arrêt dure 20 secondes, durée supposée permettre la descente et la montée des passagers, dont certains sont handicapés, ainsi que le temps nécessaire au conducteur pour vendre quelques tickets.
Quelle est la vitesse moyenne du bus entre deux arrêts ?
Même question en supposant que l'arrêt moyen dure 30 secondes.
Corrigé du problème :
23 arrêts x 20 secondes = 460 secondes, soit 7,7 minutes pendant lesquelles le bus est arrêté
pour parcourir les 7,5 km il reste donc 20 - 7,7 = 12,3 minutes, soit 0,2 heure
la vitesse moyenne du bus entre les arrêts de 20 secondes est donc 7,5 km / 0,2 h = 36,5 km/h
si la durée d'arrêt passe à 30 secondes, la vitesse moyenne entre arrêts passe à 52,9 km/h
27 février 2007
Les premières réunions publiques sur le TCSP, 12 et 14 février
Le professeur Léon Olivier, président de Sauvegarde et Animation de Versailles et Environs (S.A.V.E.) et membre de l'association de Bange -Houdon, a commis un compte rendu de chacune des réunions publiques tenues le 12 février au Chesnay et le 14 février à Versailles.
Ces comptes rendus sur une page sont brefs, précis et fidèles. Ils sont publiés avec son accord.
Cliquez sur chaque lien ci-dessous pour faire apparaître le document.
TCSP- réunion Le Chesnay - rapport Olivier - 12 fev 07.doc
TCSP- réunion Versailles - rapport Olivier - 14 fev 07.doc
Ces comptes rendus sur une page sont brefs, précis et fidèles. Ils sont publiés avec son accord.
Cliquez sur chaque lien ci-dessous pour faire apparaître le document.
TCSP- réunion Le Chesnay - rapport Olivier - 12 fev 07.doc
TCSP- réunion Versailles - rapport Olivier - 14 fev 07.doc
24 février 2007
Feuilles mortes : la double peine a pris fin.
L'amas de feuilles mortes dans le caniveau de la rue du Colonel de Bange qui, depuis l'automne 2006, formait une abondante litière pour sangliers a été enlevé en grande partie lundi 19 février par un commando spécial de trois employés municipaux efficaces.
Tout arrive.
Le message du 7 février dans ce blog, qui illustrait le sujet, n'y est peut-être pour rien.
Tout arrive.
Le message du 7 février dans ce blog, qui illustrait le sujet, n'y est peut-être pour rien.
8 février 2007
Pricipe de boucle en sens unique de Lattre / Clagny
Ce principe permet de concilier les exigences sécuritaires de la circulation de bus de Phébus, des vélos, des piétons, des voitures ainsi que les exigences du stationnement.
Il a été proposé par l'association de Bange - Houdon le 15 novembre 2006 aux autorités municipales compétentes dans le cadre de la commission de suivi ainsi qu'à Monsieur Pinte à titre personnel. On attend toujours la réponse.
Coussins berlinois rue de Lattre
Deux barrages en "coussins berlinois" ont été installés le 2 février 2007 au niveau des croisements avec la rue Mansard et la rue Alexandre Lange.
C'est l'application d'une délibération prise en assemblée générale de l'association de Bange - Houdon le 30 novembre 2006 sur proposition de Monsieur Hubert Ulrich, président du conseil de quartier du quartier Clagny-Glatigny.
Ces dispositifs, réputés provisoires, visent à réduire la vitesse de circulation excessive engendrée par l'aménagement de la rue de Lattre du 23 août 2006 qui a soulevé le tollé dont est résulté la pétition des 1200 signatures.
L'installation des coussins berlinois est une mesure petite et partielle qui ne doit pas masquer la nécessité de mettre en oeuvre des dispositifs sérieux pour la sécurité et la qualité de la vie.
Voir les messages antérieurs du blog, le procès-verbal de l'assemblée générale du 30 novembre et les notes d'information 1, 2 et 3.
7 février 2007
Transport en Commun en Site Propre ... à Haute Qualité de Service ... etc.
Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement !
Votre qualité de vie, votre sécurité, la valeur de votre patrimoine et votre porte-monnaie sont direc tement concernés par ce projet peu clair qui sous-tend les modifications de la voirie, de la circulation et du stationnement.
L'enjeu est de taille, que vous habitiez sur le tracé ou à proximité.
REUNIONS PUBLIQUES DITES "DE CONCERTATION"
à la Mairie du Chesnay lundi 12 février à 20h30
à l'Université Inter-Ages de Versailles mercredi 14 février à 20h30
EXPOSITIONS AVEC REGISTRE
à la Mairie du Chesnay du 5 février au 9 mars
à la Mairie de Versailles du 5 février au 9 mars
Participez pour vous informer et donner votre avis. L'enjeu est de taille. Invitez votre entourage à participer. Il est recommandé de participer à la fois au Chesnay et à Versailles.
Ne laissez pas passer l'occasion.
Votre qualité de vie, votre sécurité, la valeur de votre patrimoine et votre porte-monnaie sont direc tement concernés par ce projet peu clair qui sous-tend les modifications de la voirie, de la circulation et du stationnement.
L'enjeu est de taille, que vous habitiez sur le tracé ou à proximité.
REUNIONS PUBLIQUES DITES "DE CONCERTATION"
à la Mairie du Chesnay lundi 12 février à 20h30
à l'Université Inter-Ages de Versailles mercredi 14 février à 20h30
EXPOSITIONS AVEC REGISTRE
à la Mairie du Chesnay du 5 février au 9 mars
à la Mairie de Versailles du 5 février au 9 mars
Participez pour vous informer et donner votre avis. L'enjeu est de taille. Invitez votre entourage à participer. Il est recommandé de participer à la fois au Chesnay et à Versailles.
Ne laissez pas passer l'occasion.
Non à la double peine : taxes locales ou feuilles mortes, pas les deux
Ces photos ont été prises rue de Bange entre début décembre 2006 et début février 2007.
La litière pourrissante comporte des couches datant des années précédentes.
Pendant les vacances scolaires de nombreuses places de stationnement sont libres par roulement et il est est extrêmenent aisé de ramasser les feuilles. Le reste du temps c'est un peu plus difficile mais cela reste tout à fait possible.
Une récompense est offerte au chasseur d'images qui fixera le Monsieur hilare qui circule parfois, sans se presser, avec sa brouette et son balai. Il prend le plus grand soin du matériel municipal : son balai ne présente aucune usure, seulement une lègère courbure des brins parce qu'il sert de canne de repos.
Une double récompense est offerte à celui qui prendra la photo du chef censé contrôler le travail et la productivité du Monsieur hilare.
Versailles prépare son jumelage avec Grozny
Nous allons appeler Monsieur Bové et ses faucheurs.
Une technologie mal conçue et mal gérée : le tas d'ordures royales autour du réceptacle enterré est permanent. Ni les passants ni les pensionnaires de la maison Despagne ne méritent pareil spectacle. Qu'en pensent les touristes japonais ?
Il est normal de faire des travaux, le problème est que la finition du revêtement prend des mois. Les mamans avec leurs voitures d'enfant et les grands-mères avec leurs caddies sont enchantées. Il est bon pour la santé de faire du sport. Les touristes japonais n'en pensent pas grand chose puisqu'ils ne mesurent pas la durée.
31 janvier 2007
Le TCSP est supprimé !
De source officielle, le TCSP (Transport en Commun en Site Propre, appellation reconnue comme absconse) n'existe plus.
Ce projet - si l'on peut le qualifier ainsi dans l'état - s'appellera désormais LHQS (Ligne à Haute Qualité de Service, appellation incontestablement moins absconse).
Ce projet - si l'on peut le qualifier ainsi dans l'état - s'appellera désormais LHQS (Ligne à Haute Qualité de Service, appellation incontestablement moins absconse).
17 janvier 2007
Assemblée générale ordinaire du 30 Novembre 2006 - Procès verbal
Cliquez sur le lien ci-dessous pour faire apparaitre le PV :
assemblée générale ordinaire du 30 Novembre 2006 - procès verbal.doc
assemblée générale ordinaire du 30 Novembre 2006 - procès verbal.doc
13 janvier 2007
l'axe rouge a-t-il 3 ou 4 voies ?
L'aménagement de la rue de Lattre a été réalisé le 23 août 2006. L'ancien marquage au sol est toujours apparent malgré les corrections faites fin 2006.
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