Le 21 mai, 4, rue Gabriel à Versailles, une dame a reçu vers 12h30-12h45 la visite d’un agent de « la Compagnie des
Eaux » puis d’un policier. Scénario classique. Elle ne s’est pas laissée
faire, a appelé le 17 devant le faux policier qui a déguerpi. Aucun préjudice. La police était sur place à 13h.
Le 13 mai, rue Abel Nicolle à Jouy-en-Josas, une dame de 71 ans se fait voler un violoncelle ancien, de l'or et des bijoux pour un préjudice total de 50.000 euros, par deux faux policiers portant brassard.
voir également tous les articles "Voisins Vigilants" dans ce blog, depuis le 14/06/2014
15 mai 2015
Les fêtes des voisins
On nous signale :
conseil de quartier Notre-Dame
vendredi 22 mai à partir de 20h
allée Erignac (ancien hôpital Richaud)
riverains du square Jean Houdon
sur invitation
vendredi 29 mai à partir de 19h
square Jean Houdon
commerçants et riverains de la place Hoche, de la rue Hoche, de la rue Carnot
vendredi 29 mai à partir de 19h30
place Hoche
dans tous les cas : chacun apporte à boire et à manger, avec le cas particulier de la place Hoche où les commerçants fournissent la boisson
conseil de quartier Notre-Dame
vendredi 22 mai à partir de 20h
allée Erignac (ancien hôpital Richaud)
riverains du square Jean Houdon
sur invitation
vendredi 29 mai à partir de 19h
square Jean Houdon
commerçants et riverains de la place Hoche, de la rue Hoche, de la rue Carnot
vendredi 29 mai à partir de 19h30
place Hoche
dans tous les cas : chacun apporte à boire et à manger, avec le cas particulier de la place Hoche où les commerçants fournissent la boisson
13 mai 2015
Ligne 18 - réunion du 12 mai - les Protestants protestent
Pour les oublieux, rappelons que la ligne 18 du réseau de transport du Grand Paris, encore appelée "ligne verte" en raison de sa couleur sur les cartes, est aujourd'hui réduite au tronçon de 35 km qui reliera Versailles Chantiers à l'aéroport d'Orly en 30 minutes. En 2030. C'est demain.
Nous en parlons régulièrement depuis le débat public sur le Grand Paris en 2010 à l'occasion duquel l'association deBange-Houdon avait déjà commis un "cahier d'acteur".
Précédant l'enquête publique, une série de réunions de concertation a été ouverte hier 12 mai à Versailles, à l'Université Inter Ages. La présentation du projet a été donnée par trois hauts représentants de la Société du Grand Paris, en présence d'une "garante". Ce rôle de garant, ou de garante en l'occurrence puisqu'il s'agit ici d'une dame, est nouveau. Il est confié à une personne indépendante qui a pour mission de veiller, dans le cadre de la consultation publique, à ce que chacun puisse poser des questions et à ce que ces questions reçoivent des réponses appropriées. Elle recueille également les réclamations du public en cas d'insatisfaction dans l'échange question/réponse.
Au risque d'être à contre courant, nous disons que la présentation a été de qualité, ce qui n'est pas fréquent. Notre avis est aussi que le projet du Grand Paris est un beau projet. Les concertations et les enquêtes publiques appartiennent aujourd'hui à la routine et déclenchent rarement des compliments à l'adresse des responsables des projets. César Auguste, le baron Haussmann, Lyautey, Paul Delouvrier et quelques autres bâtisseurs de villes, de grands ouvrages et de voies de circulation, qui ont marqué l'histoire, n'auront pas connu les délices de la concertation.
La grande surprise de cette réunion a été que les fidèles et les responsables de l'Eglise Protestante Unie de Versailles s'étaient donné le mot pour venir en très grand nombre investir la salle et qu'ils ont soumis les représentants de la SGP à un feu nourri de protestations contre l'implantation de la nouvelle gare de la ligne 18 à côté de la gare actuelle des Chantiers. La raison de leur courroux est que l'implantation choisie est précisément celle du Centre 8, au 8 de la rue de la Porte de Buc, leur foyer cultuel, culturel et associatif, ainsi que la maison Claire Demeure tenue par les Diaconesses de Reuilly, au numéro 12.
Par l'effet d'une stratégie efficace de la force de frappe protestante, monopolisant la parole du public, le débat a exclusivement porté sur ce problème de la disparition du Centre 8, au détriment d'autres questions intéressantes qui n'ont pu être posées. On comprend parfaitement le problème des Protestants. Les orateurs, particulièrement brillants, sont remontés à la révocation de l'Edit de Nantes et ont envisagé une action en justice paralysante au motif d'entrave à la liberté de culte. François de Mazières, député-maire, avait introduit la réunion en évoquant la question et a conclu la réunion en exprimant son entier soutien aux Protestants et sa demande pressante à la SGP de trouver une solution.
On notera que, dans cette affaire, l'immeuble SNCF au numéro 4 de la rue de la Porte de Buc, qui abrite des services techniques et des bureaux syndicaux, semble avoir été sanctuarisé, de même que le HLM au numéro 2. Des clarifications, qu'on n'a pas eu le loisir de demander en séance, seraient bienvenues. Voilà une occasion de faire appel à la garante.
Nous en parlons régulièrement depuis le débat public sur le Grand Paris en 2010 à l'occasion duquel l'association deBange-Houdon avait déjà commis un "cahier d'acteur".
Précédant l'enquête publique, une série de réunions de concertation a été ouverte hier 12 mai à Versailles, à l'Université Inter Ages. La présentation du projet a été donnée par trois hauts représentants de la Société du Grand Paris, en présence d'une "garante". Ce rôle de garant, ou de garante en l'occurrence puisqu'il s'agit ici d'une dame, est nouveau. Il est confié à une personne indépendante qui a pour mission de veiller, dans le cadre de la consultation publique, à ce que chacun puisse poser des questions et à ce que ces questions reçoivent des réponses appropriées. Elle recueille également les réclamations du public en cas d'insatisfaction dans l'échange question/réponse.
Au risque d'être à contre courant, nous disons que la présentation a été de qualité, ce qui n'est pas fréquent. Notre avis est aussi que le projet du Grand Paris est un beau projet. Les concertations et les enquêtes publiques appartiennent aujourd'hui à la routine et déclenchent rarement des compliments à l'adresse des responsables des projets. César Auguste, le baron Haussmann, Lyautey, Paul Delouvrier et quelques autres bâtisseurs de villes, de grands ouvrages et de voies de circulation, qui ont marqué l'histoire, n'auront pas connu les délices de la concertation.
La grande surprise de cette réunion a été que les fidèles et les responsables de l'Eglise Protestante Unie de Versailles s'étaient donné le mot pour venir en très grand nombre investir la salle et qu'ils ont soumis les représentants de la SGP à un feu nourri de protestations contre l'implantation de la nouvelle gare de la ligne 18 à côté de la gare actuelle des Chantiers. La raison de leur courroux est que l'implantation choisie est précisément celle du Centre 8, au 8 de la rue de la Porte de Buc, leur foyer cultuel, culturel et associatif, ainsi que la maison Claire Demeure tenue par les Diaconesses de Reuilly, au numéro 12.
Par l'effet d'une stratégie efficace de la force de frappe protestante, monopolisant la parole du public, le débat a exclusivement porté sur ce problème de la disparition du Centre 8, au détriment d'autres questions intéressantes qui n'ont pu être posées. On comprend parfaitement le problème des Protestants. Les orateurs, particulièrement brillants, sont remontés à la révocation de l'Edit de Nantes et ont envisagé une action en justice paralysante au motif d'entrave à la liberté de culte. François de Mazières, député-maire, avait introduit la réunion en évoquant la question et a conclu la réunion en exprimant son entier soutien aux Protestants et sa demande pressante à la SGP de trouver une solution.
On notera que, dans cette affaire, l'immeuble SNCF au numéro 4 de la rue de la Porte de Buc, qui abrite des services techniques et des bureaux syndicaux, semble avoir été sanctuarisé, de même que le HLM au numéro 2. Des clarifications, qu'on n'a pas eu le loisir de demander en séance, seraient bienvenues. Voilà une occasion de faire appel à la garante.
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| Le Centre 8 au n°8 |
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| Claire Demeure au n°12 |
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| bâtiment SNCF au n°4 |
12 mai 2015
Voisins Vigilants - quelques méfaits commis les 8 et 9 mai
Le 08/05/2015 à 09h45 avenue de Saint Cloud :
constatations de vol par effraction dans un magasin. Porte d'entrée côté rue Georges Clémenceau
forcée par pesées. Vol du fond de caisse + articles divers. Préjudice situé
entre 10 000 et 20 000 euros.
Le 09/05/2015 à 05H15 avenue Jean Jaurès: constatations de vol par effraction dans un pavillon. Porte fenêtre forcée à l'aide d'une perceuse. Le ou les
auteurs n'arrivant pas à ouvrir la porte, ces derniers démontent l'encadrement
en bois d'une petite fenêtre située à côté. Vol de plusieurs objets en bronze
avant que l'alarme anti-intrusion ne se déclenche. Les propriétaires ont été
réveillés par cette dernière et ont constaté les faits.
Le 09/05/2015 à 13H40 rue Saint Sophie: Tentative vol
à la fausse qualité dans un pavillon. Les deux auteurs habillés de
vêtements sombres et porteurs de casquette de type police, âgés d'environ 40
ans, cheveux grisonnants, barbes naissantes, 1,75 m pour l'un et plus petit pour
l'autre prétextent un vol dans le pavillon de la victime pour pouvoir entrer.
Ils visitent toutes les pièces. Aucun vol n'est signalé sur les premières
déclarations de la victime.
Le 09/05/2015 à 14H30 rue Royale: constatations tentative
de vol par effraction contre un restaurant. Le carreau d'une fenêtre de la
réserve a été brisé dans la nuit entre 01h45 et 11h30. Le ou les auteurs des
faits n'ont pas réussi à entrer dans l'établissement. Les mêmes faits se sont
déroulés il y a 3 semaine environ.
Si vous êtes victime ou témoin d'une action malfaisante, ou si vous observez simplement un comportement suspect :
Si vous êtes victime ou témoin d'une action malfaisante, ou si vous observez simplement un comportement suspect :
appelez le 17 sans délai
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