L'armistice de le la Première Guerre Mondiale, le 11 novembre a été sonné à la 11e minute de la 11e heure du 11e jour du 11e mois. C'est ce qu'on a entendu dans toutes les communes de France lors du prononcé du message de M. Sébastien Lecornu, ministre des Armées. |
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A Versailles l'assistance était nombreuse comme chaque année, renforcée par les jeunes de cinq "classes de défense", dont Mme Marie-Agnès Amabile, conseillère municipale déléguée à la jeunesse, est la référente. "Le dispositif des "classes de défense" permet à des classes de collèges et de lycées d’être parrainées par une unité militaire incarnant ainsi la vitalité du lien armée-jeunesse à travers l'ensemble du territoire. Il témoigne de la mobilisation de l’ensemble des armées, directions et services pour les actions interministérielles en faveur de la jeunesse avec un triple objectif : contribuer à la cohésion nationale, promouvoir l'esprit de défense et garantir l'attractivité des métiers des armées." (source Ministère des Armées).
La visite des champs de bataille de la Grande Guerre est la meilleure façon de ressentir et de comprendre ce qu'il s'est passé : Verdun, le Chemin des Dames et tant d'autres sites, les innombrables cimetières et mémoriaux, les musées, les tranchés, les fortifications, les blessures dans les paysages encore bien visibles. Cette guerre était mondiale : Anglais, Australiens, Canadiens, Néo-Zélandais, Ecossais, Terreneuviens, Américains, Belges, Africains et Malgaches, Chinois (enterrés au cimetière de Noyelles), et tant d'autres, sans oublier les agresseurs allemands dont les troupes ont souffert autant que les nôtres. L'Anneau de la Mémoire de Notre-Dame-de-Lorette les rassemble tous sans distinction. Un exemple de la monstrueuse boucherie : sur le "chemin des Dames" qui est un front long de 31 kilomètres, le bilan a été de 10 morts par mètre ! C'est poignant. Tout est poignant.
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musée de Péronne
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Anneau de la Mémoire à ND-de-Lorette
 | | le Caribou des Terreneuviens |
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| cimetière chinois de Noyelles-sur-Mer |
L'armistice de le la Première Guerre Mondiale, le 11 novembre a été sonné à la 11e minute de la 11e heure du 11e jour du 11e mois. C'est ce qu'on a entendu dans toutes les communes de France lors du prononcé du message de M. Sébastien Lecornu, ministre des Armées.
