Le chiffre qui circule à présent est de "1 800 migrants" ce qui, en toute rigueur, n'est pas contradictoire avec les "quelques centaines" annoncés au départ. On progresse.
Pour ce qui concerne l'installation de migrants dans des bâtiments vacants de l'INRIA à Roquencourt, il paraît que c'est le résultat d'une proposition du directeur de cet établissement pour accélérer le déménagement déjà commencé de l'INRIA à Paris. Pourquoi ne pas joindre l'utile à l'humanitaire ?
Aux dernières nouvelles, l'arrivée des personnes concernées à Roquencourt et à Louvecienne est supendue jusqu'à nouvel ordre (novembre ?), à charge pour les maires de trouver des solutions alternatives.
voir les articles du 24/09/2016 et antérieurs
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